Cette
plante basse est assez commune dans les pâturages des Pyrénées. On la rencontre aussi
dans quelques lieux des Alpes. Les feuilles inférieures, sans vrille, sont divisées en
deux à quatre folioles. Les supérieures, terminées par une petite pointe, sont
divisées en six à douze folioles. Ces dernières sont souvent échancrées au sommet et
terminées par un pointe bien développée. Les fleurs purpurines sont solitaires et
sessiles. Les dents du calice sont sensiblement égales.
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